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  • #SessionLive Ali Boulo Santo Cissoko & Volker Goetze + Kin'Gongolo Kiniata
    Afropop Electrofunk​​ congolais et jazz mandingue. Nos premiers invités Ali Boulo Santo Cissoko (Sénégal) & Volker Goetze (Allemagne) présentent l'album Sargal. Une musique qui coule comme une eau claire, suggère le calme et une vertigineuse sensation d’apaisement. Le chanteur et musicien sénégalais Ali Boulo Santo Cissoko et le trompettiste et joueur de bugle allemand Volker Goetze forment un duo d’une renversante éloquence poétique. Le premier, héritier d’une célèbre lignée de djèli (griots mandingues) joueur de kora, et le second, musicien, producteur et réalisateur, ont en commun le même élan pour des tissages musicaux naviguant entre plusieurs univers : jazz, musique mandingue, flamenco… sans jamais s’égarer dans une fusion hasardeuse et plate. Ils ont de plus invité ici un ami de bonne compagnie en la personne du célèbre percussionniste Mino Cinelu, qui intervient sur trois des douze compositions de ce bel album intitulé Sargal. Un mot wolof exprimant une idée de remerciement et de gratitude que l’on pourrait tout à fait leur adresser en retour, tant leur musique fait du bien. (Patrick Labesse).   Titres interprétés au grand studio - Sargal Live RFI - Bétiyata feat. Mino Cinelu, extrait de l'album - Rokhaya Live RFI. Line Up : Volker Goetze (trompette), Ali Boulo Santo Cissoko (kora et chant). Son : Mathias Taylor et Jérémie Besset. ► Album Sargal (Motéma/PIAS/Integral 2025). Site Volker Goetze - YouTube Ali Boulo Santo Cissoko - Facebook du duo. Actu concert 29/10/25 Paris Église Bon Secours.   Puis nous recevons le groupe congolais Kin'Gongolo Kiniata pour l'album Kiniata. Formé dans l’effervescence des rues de Kinshasa, Kin’Gongolo Kiniata redéfinit les contours de la musique congolaise, tout en honorant ses racines culturelles profondes. L’album Kiniata est une célébration de cette énergie brute, un hommage à la vie urbaine et aux traditions congolaises, marquées par l’usage du Lingala dans des textes qui racontent les luttes, les espoirs et les triomphes de la vie quotidienne. Leurs rythmes effrénés et leurs mélodies envoûtantes rappellent l’esprit de l’article 15 («Débrouillez-vous») dans son essence transformatrice et rebelle. Mais ici, c’est l’âme de Kinshasa qui résonne à travers chaque note, chaque percussion recyclée, chaque riff électrique. Titres interprétés au grand studio : - Toye Mabe Live RFI - Kin'gongolo, extrait de l'album - Elengi Ya Ko Vivre Live RFI. Line Up : Leebruno (chant, percussions metal), Mille Baguettes (chant, batterie), Ducap (chant percus plastique), Djino (basse) et Bébé Mingé (chœurs, harpe, guitare). En entrevue : Djino & Leebruno. Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Kiniata (Hélico 2025). Kin'Gongolo Kiniata - Instagram. Actu Concerts : Primeurs de Massy 31/10 + Péniche Metaxu (Pantin) 29/11/2025.
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  • Au Levant toutes ! Avec Yasmine Hamdan et #SessionLive Christine Zayed
    La poétique du souvenir avec Yasmine Hamdan (Liban) et Christine Zayed (Palestine). Yasmine Hamdan est notre 1ère invitée pour la sortie de son 3ème album I Remember I Forget Yasmine Hamdan a d'abord surgi sur la scène musicale avec la formation indie électronique pionnière Soapkills, formée avec Zeid Hamdan dans le Beyrouth de la fin des années 90. Le répertoire entêtant et irrévérencieux du duo ainsi que ses visuels auront rayonné créativement à travers le monde arabe et au-delà, culminant avec une anthologie en 2015. Après s'être installée à Paris en 2005, la musicienne collabore avec le producteur Mirwais (ex-Taxi Girl et producteur de Madonna) pour le projet Y.A.S., à l'origine d'un album dansant et raffiné, Arabology, paru chez Universal en 2009. Depuis, elle s'est fait un nom au-delà des frontières en tant qu'autrice-compositrice et productrice solo, entrelaçant avec élégance des univers éloignés comme la poésie, la pop et la tradition panarabe, l'electronica, la soul ou encore la guitar music. Elle a collaboré avec des cinéastes de tous horizons tels que Elia Suleiman, Jim Jarmusch (chantant notamment à l'écran dans le film de 2013 Only Lovers Left Alive), Daniele Arbid ou Ghassan Salhab, et a joué au sein de projets collectifs majeurs comme Africa Express. En solo, Yasmine Hamdan a sorti un premier disque en 2013, Ya Nass, un en 2017, Al Jamilat, et à présent son troisième album I Remember I Forget, co-produit aux côtés de son collaborateur de longue date Marc Collin (Nouvelle Vague). La mémoire est une force sans pareille. I Remember I Forget [Je me souviens que j'oublie] succède à deux disques solo salués à l'international, Ya Nass (2013) et Al Jamila (2017). L'album scelle la réputation de Yasmine Hamdan en tant que conteuse talentueuse, performeuse captivante et défricheuse indépendante. L'artiste polyglotte, née à Beyrouth et installée à Paris, a toujours mêlé dans sa musique l'intime, le poétique et la politique, souvent avec un humour vif, puisant ses influences dans les dialectes et sonorités du monde pan-arabe et d'ailleurs. C'est plus que jamais le cas sur ce nouvel album, un ensemble de chants de beauté et de fureur légitime, forgé dans le tumulte de crises mondiales, notamment l'explosion en 2020 du port de Beyrouth et l'effondrement économique du Liban (désastre financier qui aura protégé l'élite aux dépens du plus grand nombre). Dans un monde moderne de plus en plus fracturé, les prises de parole de Yasmine Hamdan semblent plus vitales que jamais. «Pour cet album, je voulais m'attacher à un lieu spécifique — et il fallait que ce soit le Liban», explique Yasmine Hamdan. «Mon lien avec le Liban et ce qui lui est arrivé a constitué le terreau à partir duquel j'ai commencé à écrire et composer l'album. Cependant, au fur et à mesure du processus créatif, cet endroit est devenu un symbole, une métaphore, une catharsis pour ce qui se passe plus largement dans le monde et à travers l'expérience collective.»  «En dépit de la douleur ressentie devant ce qui est infligé à mon lieu de naissance, s'est installé peu à peu un sentiment de tendresse, de familiarité, ce qui m'a apporté de l'espoir et de l'inspiration. Beyrouth a certainement continué à être généreuse avec moi», raconte-t-elle. Yasmine Hamdan s'est ainsi attelée à l'écriture des chansons, renouant pour l'occasion avec un collaborateur de longue date, Marc Collin (Nouvelle Vague). I Remember I Forget a été produit sous la tutelle de leurs labels respectifs, Hamdanistan et Kwaidan, et paraît chez Crammed Discs / [PIAS].   Titres joués durant l'entretien : I Remember I Forget, Shmaali, Shadia et The Beautiful Losers. ► Album I Remember I Forget (Crammed Discs / [PIAS] 2025). Site Yasmine Hamdan - Bandcamp. YouTube. Actu concert 18 mars, Paris Le Trianon.   Puis la #SessionLive reçoit Christine Zayed pour l'album Kama Kuntu. Née dans une famille mélomane de Palestine, élevée entre Jérusalem et Ramallah, Christine Zayed est une chanteuse, une compositrice et une instrumentiste, virtuose du qanûn. Elle a été initiée dès son plus jeune âge à la musique arabe classique et contemporaine, ainsi qu’à la musique traditionnelle palestinienne. Son répertoire s’appuie principalement sur la musique arabe classique, basée sur le maqam (la science et la pratique de l’improvisation modale arabe), et sur la poésie arabe, en particulier la poésie palestinienne contemporaine. Ses compositions, fortement ancrées dans la tradition, sont résolument contemporaines, recherchant les chemins de la modernité dans le croisement avec d’autres univers musicaux. Elle vit et travaille en France depuis quelques années et collabore à de multiples projets, notamment au sein de l’Ensemble Chakâm ou du groupe Atine. Elle se produit en solo ou en trio avec le flûtiste Sylvain Barou et le percussionniste Habib Meftah interprétant un répertoire que l’on retrouve dans son premier album, Kama Kuntu («Ce que j’étais»). On y croise plusieurs invités, notamment Piers Faccini. Titres interprétés au grand studio : - Avant que je photographie les oiseaux, Live RFI - Animal, Feat. Piers Faccini, extrait de l'album  - Ghalimi Live RFI. Line Up : Christine Zayed (qanûn, chant), Sylvain Barou (flûtes, duduk) et Habib Meftah (percussions) Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Kama Kuntu (T-Rec 2024). Site - YouTube. Actu concerts : 11 décembre – Festival NoBorder, Brest // en trio + 12 décembre – Le Chenal, Porspoder // dans le cadre de NoBorder // en trio.
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  • David Walters et Keziah Jones dans la #SessionLive
    David Walters sort Kité Koulé avec Keziah Jones, en amont du prochain album Ti Love.   David Walters signe son grand retour avec un nouveau single Kité Koulé feat. Keziah Jones ! iIs sont nos invités dans la #SessionLive ! Premier extrait de son prochain album Ti Love attendu début 2026, ce morceau marque une rencontre musicale vibrante avec un autre guitariste / chanteur : Keziah Jones. Les deux artistes se sont croisés pour la première fois en 2006, à l’occasion d’une exposition de peintures de Keziah à Paris, où David avait été invité à jouer. Depuis, une complicité artistique s’est tissée entre eux, jusqu’à une nouvelle retrouvaille à Marseille, lors du Marseille Jazz Festival. C’est à Paris, lors d’une soirée spontanée, que le morceau est né. Écrit d’un seul souffle, inspiré par un échange sur le temps qui passe et la puissance de l’instant présent, «Kité Koulé Kon Dlo» (littéralement «laisser couler comme l’eau») prône la fluidité, l’acceptation et la connexion à soi et au monde, dans toute la beauté imprévisible de l’existence. Entre groove enivrant et spiritualité, le titre fait aussi référence à Manman Dlo, déesse des océans, symbole de mémoire, de vie et de guérison. Une chanson à la fois intime et universelle, qui nous invite à danser avec les courants de la vie.   Titres interprétés au grand studio - Kité Koulé David Walters Feat. Keziah Jones (single) Live RFI  - Ti Love Feat. Fatoumata Diawara, exclu, extrait cd non sorti - La vie est belle David Walters et Roger Raspail Live RFI.   VOIR LA #SESSIONLIVE YouTube par RFI Vidéos. Line Up : David Walters (guitare voix), Keziah Jones (guitare voix) et Roger Raspail (percus) Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant.  ► Album David Walters à venir Ti Love (début 2026) chez Heavenly Sweetness. + Playlist David et Keziah (sous réserve) - Cesaria Evora «Amor Di Mundo» Café Atlantico 1999_choix David - Prince «Something in the Water» 1999 album (sortie en 1982)_choix Keziah - Keziah Jones «My Brother»_choix David (Nigerian Wood 2008, 5è album) - Prince «Bob George» Black album (22 nov 94)_choix Keziah.
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  • Concert ! Orchestre national de Barbès + Hommage à Rachid Taha #Arabesques
    Pour la 20è édition du festival Arabesques à Montpellier, hommage du Couscous Clan à Rachid Taha et retour de l'ONB ! Créé en 2006 par UNi’SONS, le Festival Arabesques brille comme une perle culturelle majeure qui illumine Montpellier. Cet événement annuel, qui prend place au cœur de la ville en septembre, se dresse comme un véritable phare de la diversité artistique et du vivre ensemble. Nos invités : Taoufik Mimouni (ONB), Habib Derchaoui (fondateur Arabesques). 7 ans sans Rachid Taha... Le festival Arabesques lui a rendu hommage en septembre avec l'armée mexicaine du Couscous Clan. L'émission démarre avec un autre groupe emblématique du Alger-Paris-Barbès : l'ONB. L'Orchestre national de Barbès prépare un nouvel album pour fêter 30 ans d'insolitude.  Après plus de mille concerts donnés aux quatre coins du monde de Londres à Montevideo, en passant par Alger, Casablanca, Bamako ou encore Montréal, l’Orchestre National de Barbès n’a rien perdu de sa flamme ni de sa fougue légendaire. Trente ans après ses débuts, l’ONB reste fidèle à son esprit frondeur : toujours là, toujours libre, fidèle à cette promesse que le métissage est une célébration, et que la musique demeure un territoire de liberté, sans passeport ni barrière. Sur scène, le groupe déchaîne un cocktail incandescent de chaâbi, gnawa et raï, électrisé par des influences rock, reggae et un ska cuivré explosif dont ils détiennent la recette unique. Une French Touch transmaghrébine, urbaine et populaire, à la croisée des diasporas et des héritages mêlés, qui fait vibrer les corps autant qu’elle éveille les consciences. À l’occasion de cet anniversaire haut en couleurs, le collectif mythique parisien remonte sur scène pour rallumer les braises, électriser les foules et faire danser les mémoires. Entre énergie brute, générosité festive et insoumission joyeuse, l’ONB rappelle s’il en était encore besoin, qu’il est plus que jamais un porte-voix vivant, poétique et politique des cultures croisées. Distribution : Youssef Boukella : basse ; Fatah Ghoggal : guitare, chant ; Taoufik Mimouni : clavier, chant ; Ahmed Bensidhoum : derbouka, chant ; Mehdi Askeur : accordéon, chant ; Khliff Miziallaoua : guitare, chant ; Kamel Tenfiche : percus, chant ; Mamoun Dehane : batterie, chant ; Basile Theoleyre : trompette, chant ; Dominique Sablier : clavier. + Extraits du concert  Facebook.   Puis Habib Derchaoui, le boss d'Arabesques, nous parle de son festival, l'association Uni'Sons et de son ami Rachid Taha, à qui le festival a rendu hommage en septembre 2025.   Un grand concert-création en hommage à Rachid Taha, l’inclassable, l’insoumis, le rockeur made in Casbah. Celui qui a fait exploser les carcans, mêlé les riffs électriques au chaâbi et au raï, et signé la fusion magistrale entre les sons brûlants du rock et la modernité des musiques arabes. Rachid Taha, le pionnier, le transgressif, l’agitateur visionnaire, a ouvert des brèches profondes dans le paysage musical. Il a renversé les frontières, électrisé les scènes du monde entier, faisant résonner souvent dans un même cri la colère, l’exil, la fête, l’amour et la liberté. Pour célébrer cet héritage incandescent, le Festival Arabesques réunit un cercle de musiciens complices, artistes fidèles ou héritiers de son feu sacré. Parmi eux, Rodolphe Burger, compagnon de route et frère d’âme ; Justin Adams, alchimiste des cordes et des fusions transcontinentales ; Sofiane Saidi, voix du raï 2.0 à l’énergie brute ; Yousra Mansour, charismatique chanteuse-guitariste du groupe Bab L’Bluz, qui incarne une nouvelle génération de révolte poétique. À leurs côtés, le Couscous Clan, formation emblématique née autour de Rachid Taha, rallume les braises de son énergie folle, entre riffs acérés, rythmes incendiaires et poésie électrique. Ensemble, ils feront résonner l’écho de sa voix, toujours vivante, toujours en lutte, toujours en fête. Un hommage vibrant à une légende libre, éternel passeur, éternel révolté. Distribution : Rodolphe Burger : guitare ; Justin Adams : guitare ; Sofiane Saidi: chant ; Yousra Mansour de Bab’l Bluz : chant ; Idris Badarou: basse ; Kenzi Bourras : claviers ; Hakim Hamadouche: mandole et Franck Mantegari : batterie. + Extraits du concert : Voilà Voilà, Rock El Casbah et Ya Rayah. L'intégralité du concert hommage à Rachid Taha est disponible sur le site rfi.fr.   Facebook Rachid Taha  Site Uni'Sons  Site festival Arabesques.
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  • #SessionLive avec Samira Brahmia + Armel Dupas Trio
    Entre Pink Casbah et Everyday Superheroes, piano méditatif et arabo andalou «arrangé» rock & soul. Nos premiers invités sont les 3 chevaliers du trio Armel Dupas pour la sortie de Everyday Superheroes. Avec Everyday Superheroes, le Armel Dupas Trio signe un album vibrant, cinématographique, où chaque morceau célèbre à sa manière les figures ordinaires de la vie quotidienne. À travers dix titres d’une grande cohérence poétique, le trio nous plonge dans un univers acoustique lumineux, enraciné dans la tradition du jazz tout en s’ouvrant aux couleurs du monde d’aujourd’hui. On y entend l’écho des grandes années Blue Note — des grooves inspirés de la soul jazz des années 60, des clins d’œil rythmiques aux musiques latines (Chocolate Cake), une narration presque filmique (The West Coasters, Vert Lagune), mais aussi la douceur d’un piano méditatif (Peace On Earth, Les mystères de l’âme) et l’énergie bondissante d’un trio en pleine osmose (The Playful Listener). À ces compositions s’ajoutent deux reprises emblématiques : Invitation, traité comme un boléro élégant, et Encuentros de John McLaughlin, totalement réinventé dans une dynamique presque orchestrale. Entre éclats, tendresse et clarté mélodique, Everyday Superheroes est un hommage vibrant à celles et ceux qui avancent dans la vie avec grâce, courage ou discrétion. Un album à la fois généreux, accessible, et plein d’âme. Armel Dupas se définit comme un musicien-entrepreneur. Son attrait pour la diversité artistique le conduit à multiplier pendant plus de 10 ans les expériences de tournées, de concerts et de musiques pour le cinéma et le théâtre (Henri Texier, Arnaud Desplechin, Sandra Nkaké, Catherine Ringer). Son oeuvre en tant que leader débute avec deux albums remarqués : Inner Island, album du groupe WaterBabies, vainqueur en 2013 du Tremplin Rezzo Focal Jazz à Vienne, auquel succède Upriver en 2015, sorti sous la bannière prestigieuse du label Jazz Village. En 2017-2018, le Armel Dupas Trio parcourt les scènes jazz françaises et européennes grâce au soutien du projet Jazz Migration qui entoure la sortie de l’album A Night Walk. En 2019, Armel découvre le plaisir de la scène en solo hors des circuits traditionnels, bâtissant une tournée de 100 concerts chez l’habitant baptisée Home Piano Live, laquelle épouse à merveille la sortie de son album Broderies (7 millions d’écoutes sur les plateformes de streaming). Se produisant davantage à l’étranger qu’en France, Armel prépare un départ pour Moscou avorté par la crise de la COVID. C’est l’occasion d’un retour aux sources sur ses terres nantaises, où Armel redécouvre la vie au calme, entouré de nature et de vieux complices. Home Piano Live devient une émission en direct sur YouTube où l’on joue du jazz pour les amis d’ici et d’ailleurs. En quête permanente de rencontres avec son public, Armel crée en 2021 Le Piano Sacré et Le Coaching Musical, nouvelles passerelles entre musique et bien être. Allongé.e.s sur son piano, les participant.e.s au Piano Sacré vivent la musique d’une manière inédite, entre son vibratoire et portrait musical. 2022 voit la création d’un nouveau Armel Dupas Trio avec Jules Billé (contrebasse) et Christophe Piot (batterie). Acoustique et ancré dans un jazz easy listening, le trio produit deux albums qui remportent instantanément un large succès sur Spotify, propulsant la formation nantaise au rang des artistes de jazz les plus streamés internationalement. Titres interprétés au grand studio - Chocolate Cake Live RFI  - Les mystères de l'âme, extrait CD - Everyday superheroes Live RFI Line Up : Armel Dupas (piano), Jules Billé (contrebasse) et Christophe Piot (batterie). Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Everyday Superheroes (Jazz Family 2025). Site Armel Dupas  YouTube  Home Piano Live    Puis la #SessionLive reçoit Samira Brahmia pour Pink Casbah. Depuis plus de 10 ans, dans le milieu de la musique «du monde», elle se fait repérer pour sa voix et sa personnalité à la force tranquille.  Mais avec son passage à l’émission «The Voice» où elle défendait crânement «Haramtou Bik Nouassi», chanson d’amour du creuset arabo-andalou, Samira Brahmia a plus que galvanisé un auditoire des deux côtés de la Méditerranée. Un signe d’encouragement pour une chanteuse qui revendique son identité plurielle et a l’ambition de bousculer les codes esthétiques pour faire voyager son art hors des territoires assignés. Toute son histoire la porte vers cette multiculturalité. C’est que celle qui en pince pour le swing d’Ella Fitzgerald, le groove de Cheikha Rimitti, la fougue d’Edith Piaf, la saudade de Cesaria Evora, a comme ses illustres ainées une voix dont le grain, la dynamique, la texture, la classe qui rappellent celles dont on dit qu’elles guérissent l'âme.  Samira Brahmia, femme-monde, voix des deux rives. Née en France mais élevée en Algérie, Samira Brahmia a grandi au carrefour des cultures, bercée autant par le blues et le rock que son père lui faisait écouter que par les mélodies arabo-andalouses qui irriguaient son quotidien. Dans l’Algérie des années 1990, alors que le pays traverse une décennie marquée par la violence, elle rêve déjà de musique et de liberté. Elle fait ses premiers pas comme choriste au sein d’un groupe de rock, puis se lance sur scène avec cette force tranquille et cette voix singulière, suave et brûlante, qu’on n’oublie pas. Son univers, qu’elle nomme le Pink Casbah, abolit les cases et les frontières. Héritière autant de Joni Mitchell que de Cheikha Rimitti, de Piaf que de Cesaria Evora, elle chante en arabe, en français et en anglais, dans un aller-retour constant entre Orient et Occident, entre héritage et invention.  Titres interprétés au grand studio - Sankara (hommage à Thomas Sankara) Live RFI - Len Arka3, extrait album - Dzeoudji ou Quilini (Marie-toi et lâche-moi) (hommage à Cheikha Remitti) Live RFI. Line Up : Samira Brahmia (chant), Khliff Miziallaoua (guitare), Karim Ziad (batterie), Youcef Boukella (basse) et Meddhy Ziouche (piano). Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Pink Casbah (auto-prod 2025). Site Samira Brahmia  YouTube.
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Sobre Musiques du monde

De Mozart à Billie Eilish en passant par Tinariwen... C’est Le rendez-vous transmusical de RFI présenté par Laurence Aloir, avec des portraits, des reportages, des chroniques, les nouvelles sessions live du grand studio à Issy-les-Moulineaux et la tournée des festivals. Technique/Réalisation : Donatien Cahu. *** Diffusions les samedis et dimanches à 20h10 TU vers toutes cibles. Rediffusions les dimanches et lundis à 01h10 TU vers toutes cibles. Musiques du Monde, ça s’écoute et ça se regarde !
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Generated: 10/26/2025 - 8:17:31 AM