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  • Google permet de créer des agents IA personnalisés ?
    L’intelligence artificielle est déjà partout dans notre quotidien professionnel. Depuis plus d’un an, Google a intégré son IA Gemini dans la suite Google Workspace : résumés automatiques dans Gmail, rédaction de documents dans Drive, prise de notes dans Meet… Mais avec l’arrivée de l’IA dite « agentique », le géant de la tech passe à l’étape suivante.Google vient d’annoncer le lancement de Google Workspace Studio, un nouvel outil destiné aux professionnels. Promesse affichée : permettre de créer, en quelques minutes, de véritables agents IA capables d’automatiser les tâches du quotidien, sans écrire une seule ligne de code. Il suffit d’expliquer, en langage naturel, ce que l’on souhaite faire. L’agent se charge du reste, grâce à la puissance de Gemini 3. Ces agents ne se contentent pas d’exécuter des consignes figées. Ils sont conçus pour analyser des situations, s’adapter à de nouvelles informations et déclencher des actions en fonction du contexte. Concrètement, ils peuvent surveiller vos mails, détecter des mots-clés, envoyer automatiquement des alertes, préparer des briefings, ou encore organiser des tâches à partir de contenus présents dans vos documents. Ils peuvent aussi aller chercher des informations sur le web pour ajuster leur comportement.Autre point clé : l’ouverture aux outils tiers. Google Workspace Studio peut se connecter à des applications professionnelles majeures comme Jira, Salesforce, Mailchimp ou Asana. Les agents peuvent ainsi automatiser des chaînes complètes de travail, de la gestion de projet au suivi client. Ils sont aussi partageables entre collaborateurs, avec des modèles prêts à l’emploi pour accélérer la prise en main. Google voit déjà plus loin. Des évolutions sont annoncées, notamment le partage externe, l’envoi d’e-mails hors du domaine principal, ainsi qu’une prise en charge avancée des webhooks, ces mécanismes qui permettent aux applications de dialoguer entre elles en temps réel. Le déploiement a commencé cette semaine. L’accès pour les utilisateurs finaux est prévu à partir du 5 janvier 2026, pour les domaines à activation progressive. L’outil reste réservé aux abonnements payants Business, Enterprise, Education et aux offres Google AI dédiées. Les mineurs, eux, n’y auront pas accès. Derrière cette annonce, un signal clair : Google ne veut plus seulement proposer de l’assistance par IA, mais confier aux entreprises de véritables agents numériques autonomes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:23
  • Le web majoritairement peuplé de bots IA ? Clouflare le prouve.
    C’est une annonce qui fait l’effet d’un séisme dans le monde du web. Matthew Prince, le patron de Cloudflare, révèle que son entreprise a bloqué 416 milliards de requêtes de robots d’intelligence artificielle depuis juillet. Un chiffre vertigineux, qui confirme une tendance que beaucoup pressentaient : Internet n’est plus majoritairement parcouru par des humains, mais par des machines.Les données du rapport 2025 d’Imperva enfoncent le clou : les bots représentent désormais 51 % du trafic mondial, contre seulement 27 % il y a dix ans. Une bascule spectaculaire, portée par la frénésie des géants de l’IA — OpenAI, Anthropic, Google et consorts — dont les modèles doivent avaler toujours plus de données pour s’améliorer. Résultat : leurs robots arpentent le web en long, en large et en travers. GPTBot, l’aspirateur d’OpenAI, a triplé sa présence en un an. ClaudeBot, son équivalent chez Anthropic, suit le même rythme. Ces bots vont plus loin que les anciens robots d’indexation : ils réclament 2,5 fois plus de données par requête que le crawler de Google. Et le plus croustillant, c’est qu’ils ne renvoient quasiment aucun visiteur vers les sites qu’ils exploitent. Cloudflare a mesuré un ratio édifiant : 70 900 visites de ClaudeBot pour 1 visiteur humain généré. OpenAI fait un peu mieux… mais reste entre 250 et 1 217 pour un.Cette marée robotique a un coût. Le projet open source Read the Docs a vu sa consommation de bande passante chuter de 75 % en bloquant les bots IA — de 800 à 200 Go par jour — générant 1 500 dollars d’économies mensuelles. Multipliez cela par des milliers de sites : la facture globale devient gigantesque. Face à cette extraction massive de contenus, des pistes émergent : faire payer les visites des robots d’IA, ou rémunérer les créateurs dont les contenus alimentent les réponses générées. Reste à convaincre les géants du secteur. En attendant, Cloudflare a tranché : depuis juillet, tous les bots IA sont bloqués par défaut sur les sites qu’il protège. Un geste symbolique — l’entreprise ne couvre qu’environ 20 % du web — mais un signal fort. Les créateurs de contenus ne sont peut-être pas encore dépossédés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:27
  • Graviton5, le processeur surpuissant d’Amazon pour le cloud ?
    Pour la dernière grande journée de son événement annuel AWS re:Invent, Amazon Web Services a levé le voile sur une annonce stratégique : l’arrivée de Graviton5, son tout nouveau processeur maison. Une puce ARM de cinquième génération, gravée en 3 nanomètres, embarquant… 192 cœurs. Un monstre de calcul, pensé pour bouleverser l’équation performance-prix du cloud.AWS ne s’en cache pas : le pari Graviton est déjà un succès. Plus de la moitié des nouvelles capacités de calcul de la plateforme reposent désormais sur cette architecture, et près de 90 % des 1 000 plus gros clients EC2 utilisent déjà ces processeurs. Avec Graviton5, Amazon ne se contente plus d’optimiser : il change d’échelle. Cette nouvelle génération marque un véritable saut technologique. En concentrant 192 cœurs sur une seule puce, Amazon augmente considérablement la densité de calcul. Résultat : les échanges entre cœurs sont 33 % plus rapides. Le cache L3, cette mémoire ultra-rapide essentielle aux performances, a été multiplié par cinq. Chaque cœur dispose ainsi de 2,6 fois plus d’espace immédiat que sur Graviton4. Concrètement, cela accélère fortement les bases de données, l’analyse de données massives, mais aussi les jeux en ligne ou les services temps réel.Côté réseau, les progrès sont tout aussi notables : +15 % de bande passante en moyenne, jusqu’à un doublement sur les instances les plus puissantes. L’accès au stockage cloud progresse aussi de 20 %. Graviton5 promet au total 30 % de performances supplémentaires et 20 % de latence en moins par rapport à la génération précédente. La gravure en 3 nm, l’une des plus avancées du marché — dominée par TSMC, Samsung et Intel — permet d’augmenter la puissance tout en réduisant la consommation. Un point crucial à l’heure où les data centers pèsent de plus en plus lourd dans la consommation électrique mondiale. AWS va même jusqu’à refroidir directement la puce, sans boîtier intermédiaire.Autre avancée majeure : la sécurité. Avec le Nitro Isolation Engine, AWS ne se contente plus d’affirmer l’isolation des données… il en apporte une preuve mathématique. Une garantie très recherchée par les banques, les hôpitaux et les administrations. Les premiers retours sont enthousiastes. Airbnb gagne 25 % sur ses moteurs de recherche. Atlassian observe 30 % de rapidité en plus sur Jira. SAP annonce même jusqu’à 60 % d’accélération sur ses bases de données. Les premières instances EC2 M9g sont déjà disponibles en test. Les déclinaisons C9g et R9g, dédiées au calcul intensif et à la mémoire, arriveront en 2026. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:46
  • Discord, responsable du ralentissement de votre PC ?
    C’est une plainte devenue quasi quotidienne chez les joueurs comme chez les télétravailleurs : Discord consomme de plus en plus de mémoire vive. La plateforme de chat vocal et textuel confirme aujourd’hui ce que beaucoup constataient déjà : lorsque plusieurs serveurs sont ouverts, l’application peut dépasser les 4 gigaoctets de RAM, au point de ralentir sérieusement Windows 11 et les jeux lancés en parallèle.Face à la grogne, Discord teste désormais une solution radicale : surveiller sa propre consommation de mémoire… et se relancer automatiquement lorsqu’elle dépasse un seuil critique. L’objectif est simple : libérer de la RAM pour éviter que la machine ne suffoque. Une mesure présentée comme un garde-fou, mais qui révèle surtout l’ampleur du problème. Cette gourmandise n’est pas qu’une question d’usage intensif. Discord repose sur le framework Electron, qui embarque en réalité un navigateur complet basé sur Chromium. Autrement dit, chaque fenêtre de discussion fonctionne comme une page web à part entière, avec son moteur JavaScript, ses composants, ses modules. Dans des conditions dites « normales », l’application flirte déjà avec le gigaoctet de mémoire. Et après plusieurs heures d’utilisation, entre appels vocaux, partages d’écran et navigation frénétique, la consommation peut exploser.Les développeurs reconnaissent d’ailleurs l’existence de fuites de mémoire. Neuf ont été corrigées ces derniers mois, permettant une réduction d’environ 5 % pour les profils les plus gourmands. Un progrès, certes, mais encore loin de transformer Discord en logiciel léger. D’où cette nouvelle expérimentation : si l’application dépasse 4 Go de RAM, qu’elle tourne depuis plus d’une heure, que l’utilisateur est inactif depuis trente minutes et qu’aucun appel n’est en cours, alors Discord se ferme… puis redémarre automatiquement. L’opération ne peut se produire qu’une fois toutes les 24 heures pour éviter les interruptions en boucle.Sur le papier, la mécanique est rassurante. Dans la pratique, elle ressemble surtout à un pansement posé sur une architecture lourde. Et Discord est loin d’être un cas isolé. D’autres applications comme Microsoft Teams ou la nouvelle version de WhatsApp pour Windows affichent elles aussi des consommations démesurées. Le problème devient d’autant plus sensible que le prix de la mémoire vive remonte. Tout le monde ne peut pas se permettre d’ajouter 16 Go de RAM pour suivre la course aux logiciels XXL. Entre applications toujours plus lourdes et matériel plus cher, les configurations modestes plient rapidement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:26
  • Netflix rachète Warner ? Oui, mais avec pas mal d’obstacles…
    C’est une annonce qui a fait trembler Hollywood : Netflix a proposé un chèque de 83 milliards de dollars pour s’offrir Warner Bros., ses studios de cinéma, de télévision, de jeux vidéo… et surtout sa plateforme de streaming, HBO Max. Une opération titanesque, présentée comme historique. Mais attention : à ce stade, rien n’est encore acté. Le processus pourrait s’étendre jusqu’à fin 2026, et le chemin s’annonce semé d’embûches réglementaires et politiques.Car cette acquisition devrait être passée au crible par les autorités de la concurrence dans le monde entier. En clair, Netflix devra démontrer que l’absorption de Warner et de son catalogue — de Game of Thrones à l’univers DC, en passant par Harry Potter — ne portera pas atteinte à la concurrence ni aux consommateurs. Officiellement, la plateforme le répète : « rien ne change pour l’instant ». Mais en coulisses, les tensions sont déjà très fortes. Le groupe Paramount-Skydance, candidat malheureux au rachat, conteste ouvertement le processus. Son patron, David Ellison, fils du fondateur d’Oracle, espérait l’emporter grâce à ses relations politiques, notamment avec Donald Trump. Quelques heures avant l’annonce de Netflix, Paramount dénonçait publiquement une vente « opaque et injuste ».Donald Trump, justement, est entré directement dans le jeu. Le 7 décembre 2025, sur Truth Social, il a déclaré vouloir examiner de près cette opération, évoquant un risque de « part de marché excessive ». S’il ne peut pas bloquer seul le dossier, il pèse lourdement sur la FTC, dont il a placé un proche à la tête. Le patron de Netflix, Ted Sarandos, a bien tenté d’apaiser les tensions en rencontrant Donald Trump avant l’annonce. Sans succès visible. Pire encore, selon plusieurs médias américains, Paramount-Skydance pourrait préparer une OPA hostile pour reprendre Warner à coup de surenchère boursière.Et les obstacles ne s’arrêtent pas aux États-Unis. Les régulateurs européens et britanniques, réputés plus stricts, pourraient à leur tour freiner le dossier. Le syndicat des acteurs SAG-AFTRA s’y oppose déjà, inquiet pour l’avenir du cinéma en salles. Même dans le scénario le plus optimiste, la transaction ne serait pas finalisée avant la seconde moitié de 2026. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:31

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