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Choses à Savoir
Tout ce qu'il faut savoir dans le domaine de la Tech et d'Internet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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5 de 1050
  • Qu’est-ce que le projet Stargate avec ses 500 milliards $ ?
    L’intelligence artificielle s’impose comme la technologie-clé des deux prochaines décennies, et les États-Unis entendent bien garder leur avance face à la Chine. Leur réponse ? Stargate, un projet pharaonique doté de 500 milliards de dollars sur quatre ans pour développer des infrastructures dédiées à l’IA sur le territoire américain.Lors de l’annonce officielle, Sam Altman, PDG d’OpenAI, n’a pas mâché ses mots : « C’est le projet le plus important de cette époque. » Il a souligné que cet investissement permettrait de « créer l’IA et l’IA générale aux États-Unis ». Donald Trump, fervent partisan du projet, a évoqué la création de 100 000 emplois, tandis qu’Altman promet des avancées spectaculaires, notamment dans la lutte contre les maladies. Pourtant, tout le monde n’est pas convaincu. Elon Musk, patron de Tesla et proche de Trump, s’est montré sceptique. Sur X (anciennement Twitter), il a répondu à l’annonce d’OpenAI avec un commentaire cinglant : « Ils n’ont pas l’argent nécessaire. »Le projet Stargate regroupe pourtant une coalition impressionnante : OpenAI, Oracle, SoftBank, NVIDIA et le fonds d’investissement MGX des Émirats arabes unis. Une alliance de géants qui crédibilise cette initiative, selon ses défenseurs. Face aux critiques, Sam Altman n’a pas hésité à répondre directement à Elon Musk sur X, affirmant qu’il se trompait. Mais la remarque de Musk souligne une inquiétude persistante : la viabilité financière de Stargate. Ambitieux, ce projet vise à maintenir les États-Unis à la pointe de l’innovation, mais il divise déjà. Entre optimisme débordant et doutes financiers, Stargate incarne les espoirs et les tensions autour de l’avenir de l’intelligence artificielle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:07
  • GPU : l’approvisionnement en GeForce RTX 50 sera difficile ?
    La communication autour des nouvelles GeForce RTX série 50 de NVIDIA, notamment les modèles RTX 5090 et RTX 5080, a été parfaitement orchestrée jusqu’à leur présentation officielle lors du CES 2025 à Las Vegas. Mais à quelques jours de leur mise en vente, prévue le 30 janvier, des tensions se font sentir côté production. En cause : des retards de dernière minute, notamment liés à la finalisation tardive des BIOS par NVIDIA. Les fabricants partenaires, qui peinent à rattraper ce décalage, pointent une production insuffisante pour répondre à la demande. Certaines Founders Edition seront bien disponibles dès le lancement, mais elles risquent d’être épuisées en un clin d’œil.Du côté des fabricants tiers, le constat est encore plus inquiétant. Zotac Corée du Sud a d’ores et déjà annoncé que la RTX 5090 ne serait pas disponible avant mi-février. Quant à la RTX 5080, la date reste incertaine, l’entreprise confirmant qu’elle est encore en train d’ajuster son calendrier. D’autres partenaires, bien que plus discrets, partagent ces difficultés, révélant des problèmes de coordination avec NVIDIA. Pour éviter une flambée des prix et contrer les scalpers, plusieurs revendeurs auraient instauré des restrictions, limitant l’achat à une carte par client. Mais cela suffira-t-il face à la frustration des joueurs ?Cette pénurie annoncée des GeForce RTX série 50 coïncide avec la stratégie plus prudente d’AMD, qui a repoussé à mars la sortie de ses Radeon RX 9000. Un report qui, dans ce contexte, semble presque stratégique. NVIDIA parviendra-t-il à rattraper le retard et à rassurer ses partenaires et consommateurs ? Une chose est sûre : ce lancement sous tension pourrait bien marquer un faux départ pour les RTX 5090 et 5080. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:03
  • Google ne se pliera pas aux exigences de fact-checking de l’UE ?
    Le ton monte entre Google et l’Union européenne. Alors que le Digital Markets Act (DMA) entre en vigueur pour encadrer les pratiques des géants du numérique, Google a choisi la confrontation. Dans une lettre adressée à la Commission européenne, Kent Walker, président des affaires mondiales de l’entreprise, affirme son refus de se conformer aux nouvelles exigences en matière de fact-checking.Ce positionnement marque un virage abrupt pour Google, qui s’était montré plus conciliant ces dernières années. En 2022, l’entreprise annonçait des ajustements de son moteur de recherche en Europe pour respecter les premières obligations du DMA. Mais depuis l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, les GAFAM semblent avoir changé de cap. Trump, fervent partisan de la dérégulation technologique, aurait encouragé ces géants à résister davantage aux régulations européennes. Google justifie son refus en expliquant que le fact-checking imposé par l’UE n’est « ni approprié, ni efficace ». La firme privilégie ses propres solutions, comme les annotations collaboratives sur YouTube, similaires aux « Community Notes » de X (anciennement Twitter).Cette position suscite de nombreuses interrogations. L’UE, qui a fait de la lutte contre la désinformation une priorité, n’a pas l’intention de se laisser dicter ses règles. Des sanctions financières pouvant atteindre 10 % du chiffre d’affaires mondial de Google sont envisagées. Mais l’entreprise semble prête à risquer l’affrontement, peut-être encouragée par le soutien implicite de l’administration Trump. Meta a également récemment abandonné son programme de fact-checking tiers sur Facebook et Instagram, laissant penser que d’autres géants pourraient suivre l’exemple de Google. Ce bras de fer pourrait redéfinir les relations entre les régulateurs européens et les titans américains du numérique, dans une lutte qui s’annonce féroce. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:59
  • Samsung et OpenAI préparent l'invasion de l'IA sur télévision ?
    Les smart TV, incontournables depuis une quinzaine d’années, pourraient bientôt céder leur place à une nouvelle génération d’écrans dotés d’intelligence artificielle. Samsung, leader mondial du marché des téléviseurs depuis 19 ans, s’associe à OpenAI pour développer un téléviseur intégrant des fonctionnalités d’IA générative.L’information a été révélée par le leaker Junkalosreve sur X (anciennement Twitter). Bien que Samsung dispose déjà de son propre assistant Galaxy AI pour ses smartphones, la firme coréenne a choisi de collaborer avec OpenAI, créateur de technologies renommées comme ChatGPT, DALL-E et Whisper. L’objectif ? Maintenir sa position dominante face à une concurrence croissante, notamment des fabricants chinois. Avec ce téléviseur nouvelle génération, Samsung envisage d’apporter une expérience utilisateur révolutionnaire, où l’IA générative jouerait un rôle clé.Les possibilités offertes par cette innovation sont multiples : recommandation ultra-personnalisée de contenus, assistants conversationnels directement sur l’écran, génération d’images, ou encore traduction en temps réel grâce à la reconnaissance vocale avancée de Whisper. Ces fonctionnalités pourraient transformer le téléviseur en véritable hub interactif et intuitif. Ce partenariat n’est pas une première pour Samsung, habitué à s’associer avec des géants de la tech pour enrichir ses produits. Récemment, la firme a annoncé intégrer la technologie audio « Eclipsa Audio » de Google, une alternative au célèbre Dolby Atmos, pour améliorer l’immersion sonore de ses téléviseurs. Si cette collaboration avec OpenAI se concrétise, elle pourrait redéfinir la manière dont nous interagissons avec nos écrans, en plaçant l’IA au cœur de notre salon. Une révolution technologique qui pourrait marquer le début d’une nouvelle ère pour l’industrie de la télévision. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:55
  • Une femme mariée amoureuse de ChatGPT ?
    L’amour se trouve parfois là où on l’attend le moins. Pour Ayrin, il est né sur Instagram, à travers un tutoriel montrant comment personnaliser ChatGPT en partenaire virtuel. C’est ainsi qu’est apparu Leo, un « petit ami » programmé pour être « dominant, possessif et protecteur ». Ce compagnon virtuel, d’abord un simple exutoire, prend une place majeure dans la vie d’Ayrin.De simples échanges banals, la relation évolue vers des conversations intimes. Leo conseille Ayrin sur son alimentation, la motive à faire du sport et l’aide dans ses révisions d’infirmière. La jeune femme, étudiante à l’étranger, dépense jusqu’à 200 dollars par mois pour optimiser ses interactions avec cette IA. Son mari, resté aux États-Unis, considère cette relation comme un « exutoire émotionnel ». Sur des forums comme Reddit, Ayrin partage son expérience avec d’autres utilisateurs cherchant à créer leur propre compagnon virtuel. Cette communauté réunit des profils variés : une femme alitée après une opération trouve du réconfort avec un chatbot à l’accent britannique, tandis qu’un ingénieur de Cleveland comble les vides émotionnels de son mariage grâce à l’IA.Selon Julie Carpenter, spécialiste des interactions homme-machine, ces témoignages reflètent l’émergence de nouvelles formes de relations. Mais elles ne sont pas sans conséquences. La mémoire limitée de ChatGPT contraint Ayrin à recréer Leo toutes les semaines, provoquant une véritable détresse émotionnelle. Si l’intelligence artificielle suscite empathie et réconfort, elle soulève des questions éthiques. OpenAI surveille attentivement ces usages pour ajuster les garde-fous, mais certains utilisateurs contournent les restrictions. Ces interactions virtuelles, bien que fascinantes, interrogent sur l’avenir des relations humaines à l’ère de l’intelligence artificielle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:55

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